Je ne veux pas vous décourager, c’est l’été mais ça finit toujours par finir.
Recueil de poésie trash de Maude Jarry. À lire. Ça éclabousse de joyeusetés et de mal de vivre. Je vous en mets un bout :
[…] un paquet de brindilles qu’on aurait dû corder en prévision
des mois de marde à venir
comme des caves
on oubliait chaque année
que l’été finit toujours par finir.
«La violente tendresse de la douleur». Bel oxymore sous la plume d’Anne-Frédérique-Hébert-Dolbec dans le Devoir du 20 avril 2019.
Bon été!
Maude Jarry, Si j’étais un motel j’afficherais jamais complet, Les éditions de ta mère, 2019, 88 p. (édition numérique)