Le conservateur est contre les programmes d’inclusion, de diversité et d’équité. Pour des raisons d’équité.
Il était contre les mesures « totalitaires » de confinement lors de l’épidémie de la COVID.
Il craint l’immigration, toujours massive. Par voie de conséquence, l’immigrant est éligible à l’expulsion, qu’il le veuille ou non.
Le conservateur aime les frontières et les murs.
Il est épouvanté par le Grand Remplacement.
Le conservateur n’aime pas les propos et les actions des « néo-féministes ». Par souci d’équité.
Il n’a que mépris pour la théorie des genres. Il ne la sent pas. Elle ne serait pas naturelle.
Le conservateur est écolo-sceptique.
Il fustige les universitaires et les médias. Il les associe à l’idéologie délétère « woke » et islamo-gauchiste.
Le conservateur estime que l’élite et la gauche – toujours caviar et autoritaire – sont déconnectées du bon peuple et du bon sens.
Il pense que nous sommes gouvernés par des juges. [C’est en partie vraie, aux USA]
Le conservateur croit que les médias sont à la solde des démocrates et des progressistes.
Il juge que les propos vulgaires des politiciens ne sont que d’innocentes blagues de vestiaire qu’il ne faut pas prendre au sérieux.
Le conservateur défend la « liberté d’expression ».
Il croit toutefois que la vérité n’est pas toujours bonne à dire. Elle n’est pas très attractive. Les vraies faussetés le sont.
Le conservateur croit que c’était mieux avant.
[mise à jour le 20 janvier 2025]
Le conservateur croit que Trump est un libérateur. Que nous vivons un moment de la l’histoire semblable à 1989, la chute de l’Union soviétique. Un regain civilisationnel.
[mise à jour le 6 février 2025]
Le conservateur est un agent touristique : il offre, qu’ils le veuillent ou non, des vacances à des réfugiés à Cuba, à Guantanamo.
Il adore le développement touristique et les déportations. Son principal projet : la Riviera Gaza.
Il n’aime pas les accords de libre-échange
Il estime que le financement de l’aide humanitaire est un énorme gaspillage.
Il est à la fois souverainiste et impérialiste.
Il n’aime pas la régulation de l’économie, ça nuit à ses amis.
Le conservateur « think big ».
C’est tout un personnage.
Toute ressemblance avec des chroniqueurs ou des chroniqueuses québécoises existantes ou ayant existées serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d’une pure coïncidence .
[Le conservateur considère que l’écriture inclusive est une aberration mentale]