Statut publié sur Facebook, vendredi le 16 novembre. Exercice de «speed writing» Je copie ici pour mes archives sans corriger coquillettes, ponctuation et pataquès.
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Un peu surpris par tout ce tohu-bohu autour de la consommation de la coke et du troisième lien dans notre belle capitale. Elle vise juste, Catherine Dorion. Je vais prendre un autre exemple. Mettons que vous êtes dans un party de Noël, que vous prenez une première O’keefe, une deuxième, une troisième… Le fun finit par pogner. Après trois caisses, c’est certain que le plaisir tend à diminuer (je pense que c’est l’économiste Adam Smith qui a affirmé ça) et vous risquez d’être dans un pitoyable état à tel point que vous ne ferez plus de liens pantoute. Faque (du coup, pour les Français) si vous avez des bons chums et de bonnes chumettes, ils / elles vont appeler Nez-Rouge pour vous ramener chez vous à Québec. Bein manque aussi que les valeureux volontaires au nez rouge voyant votre état de décrépitude refuseront de vous embarquer. Pas compliqué, vous allez dormir à Donnacona dans un motel miteux en essayant de démêler tous ces liens, mais il sera trop tard. Est-ce que c’est clair? On n’en veut pas de troisième lien.
Para servir.
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