Température et incipit : Une vie sans fin de F. Beigbeder (17)

Une-vie-sans-finNever open a book with weather. Elmore Leonard, Ten rules for writing fictions.

Il n’a pas toujours tort ce cher Elmore Leonard. La suite de cet incipit n’est guère reluisante. Mon humble avis, ici

Si le ciel est dégagé, on peut voir la mort toutes les nuits. Il suffit de lever les yeux. La lumière des astres défunts a traversé la galaxie. Des étoiles lointaines, disparues depuis des millénaires, persistent à nous envoyer un souvenir dans le firmament.

Référence :

Frédéric Beigbeder : Une vie sans fin, Grasset, 2018, (édition numérique)

A propos Luc Jodoin

Effleure la surface des choses. Intérêt pour la littérature, la langue, les arts visuels, la sociologie et les enjeux sociaux. Tendance woke. Préfère Madrid à Barcelone.
Ce contenu a été publié dans Température et incipit. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *