Never open a book with weather. Elmore Leonard, Ten rules for writing fiction.
C’est le cadet des soucis de James Patterson les règles d’écriture d’Elmore Leonard. Des romans, il en vend des millions peu importe l’incipit.
On dit aussi qu’il peut compter sur la contribution d’une armée d’écrivaillons pour scribouiller ses récits. Lire ici. Le dernier a avoir mis la main à la pâte pour la rédaction de son dernier récit est le président Bill Clinton : The president is missing.
À signaler, un bon gars: il poursuit un combat en faveur de la lecture ; il a envoyé ses propres livres à des écoles ou à des soldats américains en poste à l’étranger. En 2014, il a fait don d’un million de dollars à des libraires indépendants et 1,75 million à des bibliothèques scolaires1. Source Wikipédia
L’incipit météorologique :
It is an unusually warm night in July, but I’m shivering badly as I stand on the substantial gray stone terrace outside my apartment. I’m looking out over glorious San Francisco and I have my service revolver pressed against the side of my temple. p.3
Référence :
James Patterson, 1st to die, Warner Vision Books, 2002, 462 p.