Never open a book with weather. Elmore Leonard, Ten rules for writing fictions.
Yves Beauchemin : Charles le téméraire : un temps de chien (pour l’édition numérique à BAnQ), tome 1, Fides, 2004, 684 p.
Un doublé pour Beauchemin, il insère des éléments météorologiques dans le titre et dans l’incipit de son roman.
Après s’être longuement fait prier, Charles montra son crâne visqueux entre les cuisses de sa mère tordue de douleur. Une méchante petite pluie barbouillait de gris les rues de Montréal, où filaient des autobus bondés de passagers mouillés et mal réveillés. p.9
Note: il fait aussi un temps de chien dans l’incipit du récit de Neil Gaiman : Le dogue noir. Voir ici.
Pauvre bête : l’ami de l’homme.