Cela arrive même aux meilleurs :
« Quand ni n’est pas répété, jamais de virgule (Il n’a pas de camarades ni d’amis), saur [sic] s’il y a rejet d’un sujet après le verbe (Je n’étais pas là, ni vous non plus) ou si l’on veut isoler un élément pour des raisons stylistiques (Il n’a plus de crainte, ni d’espoir d’ailleurs), p. 1084.
Jean Girodet, Pièges et difficultés de la langue française, Dictionnaire Bordas, Paris, 2007, 1087 p.