Never open a book with weather. Elmore Leonard, Ten rules for writing fiction.
Never open a song with weather? Allons donc !
Le bon ami Luc Séguin (@lseguin.bsky.social) m’a gourmandé sur BlueSky après la publication, ici, d’une interprétation de Stormy Weather par Lena Horne plutôt que par celle d’Ella Fitzgerald, là. Son message : Désolé, mais le temps orageux de la Great Lady of Jazz nous emmène plus haut. Ma réponse : C’est vrai, mais les temps politiques orageux présents m’ont fait préféré [sic] l’activiste.
Je ne suis pas rancunier. J’ai corrigé la vilaine coquille commise dans mon empressement et mon étourderie, et pour faire bonne mesure je lui mets Blue Sky, par Ella Fitzgerald.
Blue skies
Smiling at me
Nothing but blue skies
Do I see
Bluebirds
Singing a song
Nothing but bluebirds
All day long
Never saw the sun shining so bright
Never saw things going so right
Noticing the days hurrying by
When you’re in love, my how they fly
P.-S. 1 J’ai aussi été vilipendé par un membre du FLC pour ne pas avoir signalé la présence d’une vieille chaise dans l’incipit de Stormy weather.
Je m’exécute :
Since he went, the blues walked in and met me
If he stays away, ol’ rocking chair will get me
All I do is pray, the Lord above will let me walk in the sun once more.
P.-S. 2 Pour le amateurs de musique comparée, le vieil ami Therrien a aussi proposé l’écoute de Stormy Weather par une autre activiste : Billie Holiday. Elle nous arrache le cœur.
Vous me suivez?