[La mouche envahit toute la littérature. Où que vous posiez l’œil, vous y trouverez la mouche. Les véritables écrivains, quand ils en ont eu l’opportunité, lui ont consacré un poème, une page, un paragraphe, une ligne; Augusto Monterroso, Les mouches. Pour le contexte, voir ici.]
La dernière stupide mouche de la saison marquait le contrepoint de la musique de Bach en se tapant et en se retapant la tête contre les murs, jouant sur les cordes les plus aigües du système nerveux de Palourde.
JimG de Saint-Athanase, Les mensonges de la Palourde, Éditions du Casier postal, dans les années 80. (Épuisé)